L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : L’épervier de Maheux - Jean Carrière - 1972 (Roman)
Sélectionnée par : Médiathèque Intercommunale Istres Ouest Provence
Leurs branches vides attendaient la neige
Pourtant, l'homme était encore là, deboutFlorian - Port-Saint-Louis-du-Rhône, France
l'air était silencieux, comme en attente François - Aix-en-Provence, France
Pas un bruit, pas un frisson de vent. SilenceMaia - Bouc-Bel-Air, France
En noir et blanc, comme la lumière d'hiver. EtVirginie - Marseille, France
il avança sur la grève d'ocre, funambuleMagali - Miramas, France
Leurs branches vides attendaient la neige
Qui tardait en ce mois de décembre comme siElsa - Sète, France
pesante comme un kilo de haricots rougesCapucine - Niolon, Le Rove, France
La bouche bée. La paupière froissée. Lionel - Marseille, France
Attendant que le soleil pointe à l'horizonChristine - Lançon-Provence, France
sans une once d'impatience.Sara - Marseille, France
Leurs branches vides attendaient la neige
Leurs bras rigides et engourdis s'étirentflorence - Marseille, France
formant une arabesque. Le ballet commence.Christine - Nîmes, France
Les étoiles donnent le tempo, le maestroStéphane - Martigues, France
La nuit joue sa plus belle symphonie. Jacqueline - Marseille 13, Marseille, France
masque la photo du vieux gigoloMarie - Bruxelles, Belgique
Leurs branches vides attendaient la neige
vides et creuses, le corps noueux refroidiChristine - Marseille, France
Des perles de glace, éclaboussent de lumièreÉlise - Marseille, France
le chemin sinueux qui se trace pas à pasRandolph - Cabriès, France
mène le pèlerin, le précède, l'accompagne Randolph - Bouc-Bel-Air, France
pour à jamais le perdre dans ses certitudes.émérantine - Marseille, France