L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : L’île des chasseurs d’oiseaux - Peter May - 2009 (Roman policier)
Sélectionnée par : Médiathèque Nelson-Mandela Gardanne
Le vent nous fouettait les jambes
Au milieu des roseaux, les cigognes pleuraientlouisa - Berre-l\'Étang, France
Un silence lourd pesait dans l'atmosphěreJean Phillipe - Martigues, France
Il s'agissait de savoir qui s'était soulagé.Hélène - Marseille, France
Dans ces cabinets d'aisance un peu rustresElsa - Sète, France
glauques en apparences finalement accueillantsnadia - Ensuès-la-Redonne, France
Le vent nous fouettait les jambes
Je remontait mes chaussettes rayéesElise - La Ciotat, France
et mes mon pull vert rayées amethys - Marseille, France
Pour chasser le froid entre les lignes.Mimi - Gardanne, France
Il faut les colorier dans le creux de sa main.Perrine - Marseille, France
Eclats de terre ainsi crayonnés pour durergilles - Meyrargues, France
Le vent nous fouettait les jambes
Et nous tournions comme des totons, ivres de Sylvie - L\'Aiguillon-sur-Mer, France
jeunesse éternelle. On n'est pas sérieux quandChristine - Nîmes, France
nos poils se rebellaient violemmentArsène - Bruxelles, Belgique
notre squelette riaient de plaisirMarie - Bruxelles, Belgique
J. Avais la chair de pouleElsa - Marseille
Le vent nous fouettait les jambes
mais le soleil rechauffait notre peau tannée.Christine - Nîmes, France
Elle sentait la sueur et cette odeur rėpugnaitJulien - Marseille, France
tout autour. Elle se libérait des importunsElsa - Sète, France
enfin ! En douceur mais fermementPerrine - Marseille, France
comme la porte d'un cabinet de curiosités.Christine - Nîmes, France