L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : L’île des chasseurs d’oiseaux - Peter May - 2009 (Roman policier)
Sélectionnée par : Médiathèque Nelson-Mandela Gardanne
Le vent nous fouettait les jambes
Heureusement il était chaud et caressantSylvaine - Gardanne, France
Je me Lovais contre lui. La paix m'habitait.Elsa - Sète, France
Je serais resté là des heures, mais soudainIsabelle - Bouc-Bel-Air, France
Je ne pouvais pas croire que sa barbe piquaitRuth - Cannes, France
car elle semblait douce comme une fleur de maiNicolas - Gardanne, France
Le vent nous fouettait les jambes
je trébuchais parfois, mais tu me soutenaisRandolph - Bouc-Bel-Air, France
Tu n'as pas idée du temps qu'il fait là-bas...émérantine - Marseille, France
une chaleur accablante , il ne pleut jamaisPascale - Marseille, France
les vautours prennent les courants ascendantsPaul - Gardanne
Et du haut de la falaise il se mit à hurlerNadine - Gardanne, France