L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : La Haine de l'arbre n'est pas une fatalité - Alain Baraton - 2013 (Essai)
Sélectionnée par : Bibliothèque de l’Alcazar - Marseille
Auprès de mon arbre je vivais heureux
J'aurais jamais dû le quitter des yeux c'est sûr Françoise - Marseille, France
Et pourtant c'est vrai que j'en avais assez vuFrançoise - Marseille, France
Je rêvais d'ailleurs inexplorés, de terres Christine - Lançon-Provence, France
J'avais envie de partir vers d'autres horizonsChristine - Lançon-Provence, France
Laisser là ma vie ancienne et renaîtreElise - Marseille, France
Auprès de mon arbre je vivais heureux
et caché. Rien, ni même un téléphone, justeLilas - Marseille, France
une pensée lointaine. Combien de temps dis ?Christine - Nîmes, France
Reviendras-tu de l'enfer vert, pour nous ?Jean-Marc - Aix-en-Provence, France
Avant l'effacement de notre monde, avant leMagali - Miramas, France
30 minutes à 180° ou ton souffle chaud.Marie - Bruxelles, Belgique
Auprès de mon arbre je vivais heureux
tout en admirant ses courbes généreuses.Michel - Meyrargues, France
Je prends appui sur le nuage immobile et bleuFrance - Nice, France
La fin justifie les moyensjef - Australie
et l'hirondelle ne fait pas le printempsalice - Bouc-Bel-Air, France
même tombée du nid !Jean - Marseille, France
Auprès de mon arbre je vivais heureux
elle trace l'avenir inconnu de ses pairspatrice - Meyrargues, France
Non vous ne saurez rien de son dessein!Daniel - Aix-en-Provence, France
Il doit demeurer tu pour toucher le cœur vouluElsa - Sete
s'estomper puis laisser place à la rencontreRandolph - Cabriès, France
au delà des préjugés, le chant des possibles.Christine - Nîmes, France